Au bout d'un moment cependant, elle s'arrete, relève largement son tablier et sa jupe, et fait glisser sa culotte sur ses pieds.

J'en profite pour mieux regarder ce qu'elle a sorti du pantalon de Duverger, c'est ce que tous les hommes ont, bien sur, je ne suis innocente à ce point, mais c'est aussi raide et beaucoup, beaucoup plus long que sur les statues... et cela bouge tout seul, comme celui du cheval que j'ai épié la derniere fois pres du manguier.

Par quelle magie cet... ornement inerte et gros comme mon pouce, est-il devenu si impressionnant...je l'ignore.

En tout cas, l'heure n'est pas aux méditations mais au spectacle, et j'écarquille les yeux, plus interressée qu'indignée, maudissant la poussière et les toiles d'araignées qui risquent à tout moment de me faire éternuer.

Linette est revenue s'étendre à coté de mon prétendant; entre ses bas noirs et son tablier relevé jusqu'à la ceinture, son ventre et le haut de ses cuisses dorées font une tache claire sur laquelle s'étale avec orgueil une magnifique toison noire bien plus large, et plus épaisse que celle de mon amie Héloise.
Je l'entends chuchoter:

-Est ce que je vous plais toujours?...?...j'ai envie aussi!Allez,"..."moi.

Quelque chose comme "grannelez"? Peut être: "branlez", mais cela n'aurait pas plus de sens pour moi. Et puis:

-Vous l'avez toujours aussi beau, c'est bien du plaisir pour moi...

Bref, elle prend la main de Monsieur Duverger, la pose à la rencontre de ses jambes qu'elle écarte largement. Leur double caresse (car la main de Duverger s'était mise en mouvement en même temps que la sienne), paraissait les émouvoir tous les deux.
Line cambrait les reins, levait les cuisses, soupirait, et sa main allait et venait plus vite...
Puis, sans arreter son mouvement, elle se tourne et enjambe Duverger d'un geste vif tandis qu'il lui plaque les deux mains aux hanches pour tenir sa jupe relevée...


A suivre...