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-Mais non, ce n'est pas grave...ce n'est pas grave...ça ne PEUT PAS être grave...

Christian Muller affalé dans son fauteuil en cuir noir, tente désespéremment de se convaincre.

-vingts ans, VINGTS ANNEES de pratique et cela n'était encore jamais arrivé! pourquoi, pourquoi maintenant?!

Cathy ouvre doucement la porte.

-Docteur Muller? c'est fini pour aujourd'hui, il n'y a plus personne.

-D'accord Cathy, vous pouvez y aller.
Non, attendez...servez-moi d'abord un cognac et appelez le docteur Krysler, dîtes lui que c'est urgent.

Elle lui tend le verre.

-Docteur, vous avez changé de chemise? vous allez bien?

-Ne vous inquiétez pas Cathy, faîtes.

-Entendu.

Cathy un peu perplexe, s'exécute et sors du cabinet en refermant doucement la porte derrière elle.

-Christian! Que se passe t-il? Tu m'as fait appeler?

-C'est arrivé...

-Quoi? et c'est pour cela que tu fais cette tête!

-Tu ne comprends pas Maurice!

-Si, je comprends très bien, et il n'y a pas de quoi se mettre dans cet état!

-Se mettre dans cet état!!! Quel euphémisme!

-Arrête Christian, tu penses peut être que C'est la première fois qu'un médecin couche avec une de ses patientes?!
Cela arrive très souvent, crois moi...

-Mais j'ai trompé ma femme! Lilly est un vrai modèle de vertu! Elle ne me le pardonnera jamais!

-Mais qui parle de le dire à Lilly? Dans notre profession ça arrive fréquemment, et  d'ici quelques semaines tu auras complètement oublié cette petite aventure!

-J'en doute...

-Christian, qu'est ce que tu peux être naif!

-Maurice j'ai fais une bêtise! J'aime ma femme!

-Appelle cela comme tu veux, le fait est que tu as craqué, c'est humain, non?

-...

-C'est assez! Cesse tes jérémiades et raconte moi plutôt cette sulfureuse consultation.

-Elle n'arrêtait pas de me provoquer depuis déjà trois mois. Tous les mardis elle arrive ici en se plaignant de maux imaginaires, elle se dandine, se penche par dessus mon bureau de façon à ce que je sois nez-à-nez avec sa poitrine volumineuse, "Docteur j'ai mal ici, regardez, non un peu plus bas, encore plus bas, juste là..." C'est un vrai démon cette femme!

-Ah! Ca ressemble bien à Amanda ça! Tout juste vingt-cinq ans et elle fait tourner la tête de tous les hommes, même du généraliste le plus puritain de New-York!

-Arrête Maurice, il m'est déjà assez pénible de te raconter tout ça alors n'en rajoute pas.

-D'accord, je t'écoute.

-Amanda est donc arrivée ici cet après midi vêtue d'une mini-jupe évasée et d'un chemisier blanc on-ne-peut-plus-transparent, elle s'assied en face de moi et se met à croiser, décroiser, et recroisé ses jambes tout en me parlant.

-"Docteur, j'ai un problème...comment dire...c'est que je suis très gênée..."

Elle enroule une mèche de cheveux autour de son index.

-"Voyons mademoiselle Redford, je suis médecin, vous pouvez parler en toute confiance."

-"Voilà docteur, j'ai des rougeurs à un endroit très...intime. Sous le ventre...enfin, entre les cuisses...hum, vous voyez?

A cet instant, je suis à nouveau pris de cette érection monumentale qui apparaît à chacune de ses visites.

-"Oui, mademoiselle, j'ai compris".

Elle se lève et s'allonge sur la table afin que je l'ausculte.
J'attrape mon stéthoscope et m'approche d'elle, elle écarte outrageusement les jambes et je m'aperçois qu'elle ne porte pas de culotte. Je ne cherche même plus à cacher mon érection qui à ce stade, me semble impossible à dissimuler.

-"Vous voyez docteur?"

-"Non, je ne vois rien."

-"mais, si approchez..."

je glisse ma tête entre ses cuisses.

-"Mademoiselle Redford, il n'y a rien."

-"touchez, tout juste là...vous sentirez."

-"Ce ne sont pas des rougeurs alors!"

-"Mais c'est vous le docteur, pas moi!"

Je fais glisser mon doigt le long de son pubis jusqu'à sa vulve. Elle gémit discrètement.

-"Allez-y docteur Muller, ça me soulage..."

Je fais glisser mon doigt à l'intérieur d'elle, elle gigote...elle est déjà toute trempée...
Je glisse un autre doigt et je farfouille en elle...elle se cambre, gémit...
Dans un brusque moment de lucidité, je m'arrête, réajuste ma cravate.

-"Que se passe t-il docteur?"

-"Rien Mademoiselle Redford, vous n'avez rien de grave, vous vous portez à merveille!""

-"Mais si docteur, j'ai mal au coeur! écoutez!"

Résigné, j'attrape à nouveau mon stéthoscope et le pose sur sa poitrine.

-"Attendez."

Elle se redresse, déboutonne son chemisier, dégraphe son soutien-gorge et me présente fièrement les plus beaux seins que je n'ai jamais vu...

-"Voilà, c'est mieux."

Je pose à nouveau mon stéthoscope sur sa poitrine.
Elle respire profondément, inspire et expire de façon à ce que mes doigts frôle à chaque fois sa poitrine...inspire...expire...inspire...expire...inspire...elle me regarde droit dans les yeux...elle me transperce...n'y tenant plus, je l'embrasse à pleine bouche, elle enfouit ses doigts dans mes cheveux, me griffe le dos, je lui suce les seins à en perdre haleine, elle écarte les jambes, je glisse à nouveau ma main entre ses jambes, elle gémit et serre très fort ma main entre ses cuisses...Je la redresse, lui agrippe les fesses et la porte sur mon bureau, elle arrache ma chemise, déboutonne mon pantalon et le fait glisser sur mes chevilles.
Je balaie d'une main tout ce qui se trouve sur le bureau, elle est là, les jambes écartées, offerte, ouverte, humide...je viens m'allonger entre ses cuisses...elle se cambre...je n'en peux plus, je la pénètre...elle est si chaude, si humide...je la retourne et lui écarte à nouveau les jambes, je lui caresse les fesses avant de m'enfouir brusquement en elle, elle crie, d'une main je cherche son clitoris, elle va jouir... je m'active, elle gémit fort...elle m'inonde...elle a jouit...après trois ou quatre coup de rein je me décharge dans son antre humide...C'est fini...je m'allonge près d'elle, en silence.

Dix minutes après, elle se rhabille sans un mot, et sort du cabinet. Encore grisé par ces émotions, je ne pense même pas à la retenir.

Voilà, voilà ce qui c'est passé ici cet après-midi maurice.

-Quel anecdote réjouissante Christian!

-Mais tu ne comprends donc pas?! Je regrette amèrement tout ce qui s'est passé! TOUT!
J'ai trompé Lilly, tout ça n'est qu'une erreur...

-Arrête de te faire du mauvais sang, Lilly n'en saura rien. Amanda ne parlera pas, tu n'as pas à t'en faire!

-Comment pourrais-tu le savoir!

-Je le sais c'est tout! Allez, ressaisi toi mon vieux!

-Mais qu'est ce que j'ai fais...

-Mais puisque je te dis que ce N'EST PAS GRAVE Christian!Allez, je retourne à mon bureau, j'ai encore des patients.
Je dîne toujours chez vous à vingt-heures?

-Bien sûr, tu sais bien que Lilly t'adore.

-Très bien! A ce soir Christian.

De son bureau, le Docteur Krysler observe les gratte-ciel de la ville et, pensif, se remémore le récit de son ami quand le téléphone se met à sonner.

-Docteur krysler?

-oui.

-Madame Lilly Muller souhaite vous voir.

-C'est bon Diane, faîtes la entrer.

Pile à l'heure!

-Maurice!

Elle se jette à son cou et l'embrasse goulûment.

-Ma Lilly! Qu'est ce que tu m'as manqué!

-Toi aussi chéri! Le temps m'a paru si...

-Satané téléphone!

-oui?

-Docteur, Mademoiselle Amanda Redford.

-faîtes la entrer s'il vous plaît.

Il ouvre la porte et l'accueille en souriant.

-Amanda! Quelle bonne surprise!

-Quelle journée! Lilly, ton mari n'est pas le meilleur coup de ma vie, mais qu'est ce que je me suis amusée!

Lilly rit doucement. Elle secoue négligemment sa chevelure blonde. Krysler observe les deux femmes. La blonde lumineuse, et la brune incendiaire...Il sort un paquet de sa poche et le tend à la blonde.

-Lilly, voilà la cassette, avec cette preuve tu as de quoi faire un divorce heureux et profitable!
A nous les plages du Brésil!

Ils éclatent de rire tous les trois. Krysler vient s'asseoir entre les deux femmes, bécote Amanda tandis que sa main se glisse sous la jupe de Lilly.

-Attendez!

Il se lève et décroche le téléphone.

-Diane?

-Oui docteur.

-Vous pouvez partir plus tôt, je vais fermer le cabinet ce soir.

-très bien. A demain docteur krysler.

-Voilà! la nuit est à nous mes chéries!

Lilly déshabille tranquillement Amanda tandis que krysler sert le champagne. Pensif, il caresse la bouteille... ce soir elle servira à bien des choses...