Émue par l'entrée de Mathéo, j'ai fermé les yeux un moment. Quand je jette à nouveau un regard prudent derrière mes lunettes de toile, notre homme est étendu en travers du lit, les mains croisées sous la nuque, jambes pendantes.


A côté de lui, Emmeline bavarde en créole en caressant le gîte de la bête. Puis elle se décide, le déboutonne sans hâte, fait glisser son jean sur le bas de ses mollets tandis qu'il relève et roule sous lui sa chemise et sa veste.J'ai alors une vue cavalière sur un (comment dire?), sur un personnage bien en rapport avec la corpulence de Mathéo et sa mollesse: Gros comme mon poignet et très long!
Un point pour Emmeline: elle avait à peine exagéré la taille de l'outil, qui est déjà bien levé vers elle.

Elle le flatte, le manie comme je l'ai vu faire à Duverger, puis se penche vers lui, approche sa tête, et je devine qu'elle l'avale délicatement.
Comme elle s'écarte un peu, je n'ai plus de doute: elle le...suce comme un bâton de sucre d'orge, parvient à en loger toute la tête et un peu plus dans sa bouche, le laisse pour souffler un peu le reprend.

Je n'imagine pas comment elle fait pour le conserver sans s'étouffer! En tout cas, le résultat est remarquable!
Je le croyais gonflé autant qu'il était possible, main non! Il se redresse encore!

Est-ce parce que je suis plus près? Non, il est sans conteste plus gros et plus long que celui de Duverger!
Peut-être un peu moins... nerveux, je veux dire raide, mais on ne peut pas tout avoir.
C'est un peu comme celui de l'âne ou du cheval, répugnant et fascinant à la fois.
Il me semble qu'une fois la répugnance vaincue, on peut s'enfiévrer pour un...objet aussi plein de vie et de force, mais je me demande vraiment si j'aurai un jour le courage de considérer le phénomène autrement d'un peu loin!A plus forte raison, de l'emboucher comme une asperge!

Cependant, Line le fait, et visiblement avec appétit...que ce soit pour m'instruire, pour donner donner du plaisir à Mathéo ou pour l'un et l'autre, ce que fait Emmeline (qui n'a guère quatre ou cinq ans de plus que moi, pourquoi ne le ferais-je pas un jour? Il ne faut pas dire "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau".

Debout maintenant, elle dégrafe son corsage et fait glisser sa jupe sur ses pieds. Rien que pour cela j'aurais aimé être à sa place! il fait une chaleur à mourir dans la chambre et une petite rigole de sueur commence à me chatouiller les reins.
Elle regarde Mathéo qui s'est accoudé et lui caresse le bas du dos négligemment.
Elle a des seins magnifiques, pleins et fermes, dont j'envie la large couronne brune et les pointes bien sorties qu'elle caresse en s'étirant, à demi tournée vers lui, et demande en riant:

 -Est - ce que je te plais Mathéo?

Ils rient comme des enfants et je bous! J'ai beau admirer tantôt le ventre et les seins de Line, tantôt le...que Mathéo veut lui mettre entre les cuisses et agace lui même de sa main, j'ai des fourmis dans les jambes, et je crains horriblement de faire un geste maladroit. Quelle scène se serait!

Je suis bien folle de me jetée tête baissée dans cette histoire!
Qu'ils en finissent seigneur, qu'il en finissent n'importe comment, Amen!

Ma belle soubrette, penchée en avant, paraît éprouver la raideur de ce qu'elle tient dans sa main droite, le fait aller et venir entre ses jambes de plus en plus vite en geignant et en se tordant...
Comment? Quand je caresse Emmeline, je sens bien que sa nichette s'ouvre sous mes doigts; mais cette folle ne prétend tout de même pas y faire entrer ce machin de cheval? Ce n'est pas possible! elle va crier, pleurer, souffrir comme une chatte qui met bas!...ou bien il va se réduire à une taille acceptable? Mais non! elle le guide par devant et je le vois entrer lentement et majestueusement aussi énorme que jamais!

penchée en avant, Line observe aussi cette entrée difficile.
Quand il y est jusqu'à la racine, elle remonte en s'appuyant sur ses cuisses, redescend, recommence, et je vois entre deux buissons châtains, ce nerf gros et raide apparaître, disparaître, de plus en plus aisément, de plus en plus vite!
Le jeune homme la soulage, l'aide, l'accompagne de ses mains qui lui enserrent les hanches.
Linette pose les siennes sur ses seins qu'elle frotte avec frénésie.
Moi, je me mord les lèvres pour ne pas bouger, ni tousser.
Cela n'aurait d'ailleurs aucune importance car elle pousse maintenant des cris à peine étouffés, et Mathéo des "Han" de bûcheron en plein travail!
Enfin, elle s'abat sur lui en gémissant et je vois ressortir d'elle, bien diminué et bavant abondamment, un gros morceau de chair peu ragoûtant!

Après cela, je ne sais plus très bien...
Je m'étais faîte toute petite dans mon coin, tassée, assommée de chaleur et d'odeurs...avec ce liquide chaud qui me coulait entre les cuisses, comme quand je "mouille"... et le temps m'a paru long jusqu'à ce que Line vienne me délivrer.
Si c'était à refaire, je ne le referais certainement pas! 

 

 

A suivre...