En cette après-midi tropicale, bercés par un petit vent léger dans les flamboyants, nos deux tourtereaux prennent leurs aises sur ce sofa d'un vert tendre, comme la nature qui entoure cette case isolée.
L'atmosphère est chaude et un peu moite, juste assez pour rendre leurs peaux collante...
Peter n'en revient toujours pas de cette réalité bien en chair, assise face à lui sur son sexe offrant ses magnifique seins où ses mains se régalent à les palper. Elle se baisse contre lui pour mieux lui faire apprécier la douceur exotique de sa peau soyeuxe et parfumée....hummm que c'est dur à penser! Les mouvements de va et vient sont au rythme de Kaline qui fait durer le plaisir à son paroxisme, Peter caresse ses fesses offertes comme deux fruits mûrs dorés au soleil de la Martinique...Il se relève et la bascule à son tour pour aller explorer le fruit du désir avec de long baisers et mouvement de langue, arrachant quelques cris à Kaline qui monte de ciel en ciel...Puis il s'allonge sur elle pour l'assaut final après de longues minutes de cette préparation amoureuse, presque insoutenable. Après une étreinte homme-femme enlacés et des mouvements de reins endiablés....un cri commun emporta nos deux amoureux dans des râles sans fin....On entendit un chant d'oiseau au dehors comme pour marquer l'essai...
Le ventilateur au plafond continuait à brasser cet air chaud de l'été. Peter se retrouva sur le dos près de sa compagne les yeux fermés et la tête légèrement en dehors du sofa pour mieux se détendre...quand tout à coup...
il croyait encore rêver en sentant la douceur de deux entre cuisses fraîches sur ses joues...il ouvra les yeux et un superbe mont de vénus s'offrait à lui silloné d'une gorge rose ouverte à souhait.... Mais...dit-il toi-aussi tu...quand sa bouche fut enveloppée de deux lèvres chaudes et goulayantes humectées de miel féminin...il ne se fût pas prier pour en sucer tout ce nectar, source du plaisir où il puisa au plus profond. Il pensa encore rêver quand Kaline prit la parole et dit:"Eh oui, Peter, je ne pouvais rejoindre ton île sans y emmener, celle qui s'est donnée à merveille dans ton rêve, Céline est à toi maintenant, comme moi je le suis encore...moi couleur café et elle claire comme la banquise...tu as voulu...à toi maintenant...assume...assume...et...
Par petitekaline | Avant | Jeudi 12 Août 2004, 17:21 | Après | feuilleton intéractif | aucun commentaire