Mais je....je ne rêve pas? chuchote t-il d'une petite voix. Tu as quitté ton île pour rejoindre la mienne?

oui, mon Peter répond Kaline(encore plus sensuel en naturel)

Peter écarquille grand ses yeux brillants, cachant mal un désir alimenté par ce rêve d'une extrême intensité où il a été le héros malgré lui. Cette douce créature, dont les formes sont à l'apogée de leurs maturités, serait-elle prête à s'offrir en cette après-midi tropicale?.

Elle s'approche doucement sur ses jolies jambes aux pieds nus, déhanchant son bassin pour mieux balancer ses seins, bien en pointe, mais aussi bien fourni qui troublent Peter dont le coeur bat à tout rompre.

Peter n'en pouvant plus, se lève dans l'attente de ces derniers pas qui semblent interminables...sa serviette tombe à ses pieds laissant apparaître son trouble bien dressé.

Kaline est maintenant toute proche, le pagne autour de sa taille est lui aussi par terre, découvrant un fruit de la passion prêt à consommer et chacun peut sentir l'émoi de l'autre et les parfums d'amour qui s'en dégagent...

Peter dit à Kaline: Je...je...       plus un mot ne peut sortir de sa bouche,  tant le baiser de Kaline fut rapide et langoureux. Cet échange fût complété par l'enlacement des deux corps, ou les mains ont parcouru X fois chaque contour et cambrure de leur corps, faisant monter la sève au cerveau, jusqu'à les rendre fous...fous l'un de l'autre...

Les râles et gémissements fusent de toutes parts et quand la tension fût à son comble. Peter porta Kaline empalée, et assise sur ses mains, jusqu'à un sofa qui sert à faire la sieste les après-midi.

et là....

 

Le téléphone sonne.

Ils s'intallent sur le sofa.